Eveil dérisoire
Un peu moins aujourd’hui qu’hier
Les heures s’embrassent, nous disent adieu
La chaleur lentement trépasse
Le long des avenirs radieux
Et lorsque le roulis des cent wagons sommeille
Le voyage de la nuit soudainement s’éveille
En quête d’un lendemain qui saura le charmer
Ou dans la douce vape,
Le lui faire oublier
Soupir, c’est mon cœur
Il me lâche
Mentir, c’est mon cœur
Il me tâche
Sourire, toujours lui
Il m’attache